Introduction
Le 15 avril 2025, l'ancien président des États-Unis, Joe Biden, a prononcé son premier discours depuis qu'il a quitté la Maison Blanche en janvier 2025. Lors de cet événement à Chicago, Joe Biden a critiqué l'administration de son successeur, Donald Trump, en se concentrant principalement sur les réformes touchant le système de Sécurité sociale américain.
Critiques de Joe Biden
Joe Biden a exprimé son inquiétude face aux premières actions de l'administration Trump, qualifiant ces changements de "destructions". Il a souligné que "cela ne fait pas encore 100 jours et cette nouvelle administration a fait tant de dégâts et tant de destructions". Ces remarques s'inscrivent dans le cadre d'une conférence dédiée à la Sécurité sociale, un pilier du système de retraite et d'invalidité pour 68 millions d'Américains.
Réformes controversées de la Sécurité sociale
Selon Biden, l'administration Trump s'est attaquée au réseau de la Sécurité sociale en procédant à des licenciements massifs. Il a dénoncé le licenciement de 7 000 fonctionnaires, y compris des cadres expérimentés, et a affirmé que cette politique visait à réduire considérablement les effectifs de l'agence. Biden a également déclaré que ces mesures avaient pour objectif de financer des baisses d'impôts important pour les milliardaires.
Réponse de l'administration Trump
L'administration Trump, de son côté, a nommé un "expert anti-fraude" pour diriger la Sécurité sociale, arguant que de nombreuses fraudes compromettaient son fonctionnement. Elon Musk, chargé par Trump de la rationalisation de l'État, a soutenu que le système était grevé par des fraudes massives, mais aucun détail précis n'a été fourni publiquement.
Conclusion
Joe Biden a conclu en affirmant que protéger la Sécurité sociale était essentiel pour la nation, car elle représente un contrat de confiance entre l'État et le peuple. Il a exhorté à la protection de ce système non seulement pour assurer les retraites, mais aussi pour maintenir la crédibilité des institutions étatiques envers leurs citoyens.